Si les médias s’introduisent dans notre quotidien via des journaux papier, des reportages sonores ou des articles sur internet, ils se concrétisent parfois aussi par des produits dérivés croisés au gré de rencontres publiques ou d’événements. Florilège, avec un nouveau venu dans la collec’ perso : Mediacités.
Avec des parents grands consommateurs de presse, et même buralistes à un moment de leur vie professionnelle, mon environnement se composait parfois d’objets siglé de titres comme la Nouvelle République pendant ma jeunesse tourangelle. Une maladive passion goodies qui ne s’est pas éteinte à mon arrivée à Lyon.

Vestiges antiques préservés par les parents : la pochette « Nouvelle République ».

Vestiges antiques préservés par les parents : le bloc-notes « Nouvelle République ».
Au gré du temps et des rencontres lyonnaises, une petite collection qui ne demande qu’à s’étoffer se construit petit à petit, autant qu’une galerie photo d’objets vintage ou une collection de livres dédiés à la presse locale meuble mes étagères (vive les rayonnages obscures d’Emmaüs ) :

Les pin’s, ces produits dérivés qui te font comprendre que tu es vieux, ep. 1

Les pin’s, ces produits dérivés qui te font comprendre que tu es vieux, ep. 2

Les pin’s, ces produits dérivés qui te font comprendre que tu es vieux, ep. 3

Un autocollant Rue89Lyon, et des badges Tribune de Lyon et Mediacités.

Un peu usé par le temps, un t-shirt créé par Paul Smith, commande de Libération.

Deux verres à dégustation, émis par Rue89Lyon pour leur événement annuel « Sous les pavés, la vigne », salon du vin naturel.

Plus rare, le livre « La Mouche », paru en 2008 : l’épopée de LyonMag racontée par son ancien rédac’chef.
Parmi les petits derniers de la collect’ perso, les goodies du pure player multiville d’investigation Mediacités : pour le moment, un mug et un totebag.
Pour les curieux, on pourra aussi trouver un carnet de note estampillé « Bidule », la mascotte de Mediacités dessinée par Jean-Paul Van Der Elst, qui illustre régulièrement les articles du pure player.
On notera aussi une affiche du même auteur, intitulée Mediacités au pays de la démocratie locale et qui « compile des détails d’illustrations précédentes ou d’idées qu’il n’avait pas mises au propre », précise Nicolas Barriquand, rédacteur en chef de l’antenne lyonnaise de Mediacités. Au format 29,7×32 et éditée à seulement 80 exemplaires, elle a été imprimée par les rotatives de l’inestimable L’indéprimeuse sur un papier velin vergé 350 grammes blanc naturel, en impression noire numérique.

La totale des goodies de Mediacités (photo : N. Barriquand/Mediacités)

« Mediacités au pays de la démocratie locale », dessinée par Jean-Paul Van Der Elst (photo : N. Barriquand/Mediacités)

Détail de l’affiche. (photo : N. Barriquand/Mediacités)
Concernant les tarifs, on est dans les normes :
- totebag à 5€ (testé et approuvé par mon entourage, je vais finir par prendre une commission)
- carnet et mug à 8€
- affiche à 12€
Le site ne dispose pas encore d’un espace de vente en ligne. Pour se procurer cette première fournée, présentée lors du Festival Mediapart (dont Mediacités est partenaire) en mars dernier, une seule solution : contacter les rédactions et, pourquoi pas, leur rendre visite à Lille, Toulouse, Nantes et Lyon (une antenne administrative est aussi basée à Paris).
Chères rédactions locales, si vous avez des goodies en vente, inutilisés, ou totalement improbables, je suis très intéressé pour en acquérir quelques exemplaires (ou, à défaut, les prendre en photo) 🙂